Jean Moulin, mes résistances

Très documenté, ce seul en scène intimiste témoigne de l’engagement viscéral et sans faille de Jean Moulin dans la Résistance, par amour de la liberté, de la justice et de la démocratie. Du 17 juin 1940, alors qu’il est préfet de Chartres, jusqu’au 8 juillet 1943, jour de sa mort dans un train qui l’emporte en Allemagne, c’est un Jean Moulin profondément humain et sincère que nous vous invitons à découvrir. Évoquant toutes les facettes du personnage, l’homme qui résiste, mais aussi l’homme passionné par l’art contemporain et lui-même grand dessinateur, la pièce nous mène à la rencontre d’un Jean Moulin fin négociateur quand il est en présence des chefs des réseaux de résistance et d’une immense bravoure aux mains des nazis dans l’ancienne école vétérinaire de Lyon transformée par la Gestapo. On le retrouve aussi à Londres, auprès du Général de Gaulle, à Paris où il organise la première séance du Conseil de la Résistance avant de se détendre dans une galerie d’art qui expose des œuvres de Kandinsky ou encore à Saint-Andiol, près de Cavaillon où il se ressource avec sa sœur Laure et sa mère…